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modifications
Ligne 185 : | Ligne 185 : | ||
<pre>rm -rf /etc/pve/nodes/node5</pre> | <pre>rm -rf /etc/pve/nodes/node5</pre> | ||
=Afficher les informations du | =Afficher les informations du lien tinc= | ||
Le démon tinc permet egalement d'obtenir des informations plus détaillées sur le statut du lien : | |||
<pre>tincd -n <nom> -kUSR2</pre> | |||
Les informations seront dans le syslog | |||
=Note sur la gestion du démon tinc par systemd sous debian= | |||
Sous debian avec systemd, une unit par défaut est créée (<code>tinc.service</code>) mais ne reflete pas réellement le statut de votre démon tinc. Elle est utilisée pour propager les commandes manuelles (start, stop, restart, ...) à tous les démons tinc que vous pourriez lancer. | |||
Si vous créez deux VPN différents dans /etc/tinc/vpnA/ et /etc/tinc/vpnB/, il vous faudra les activer avec : | |||
<pre> | <pre> | ||
systemctl enable tinc@vpnA.service | |||
systemctl enable tinc@vpnB.service | |||
</pre> | |||
Puis vous pourrez gérer indépendamment vpnA ou vpnB en utilisant les noms complets, par exemple : | |||
<pre> | |||
systemctl status tinc@vpnA.service | |||
systemctl status tinc@vpnB.service | |||
</pre> | |||
L'unit <code>tinc@vpn.service</code> permet de propager les commandes à l'ensemble des démons tinc. Ainsi, <code> | |||
=Documentations tinc= | =Documentations tinc= |